Soutiendras-tu mon regard ?
Fais-le avant qu'il soit trop tard.
Nous mourrons sans cercueil
La nature dans les forêts sombres
Dans le grand silence du deuil
Cache tes cousins qui dans l'ombre
Disparaissent dans l'indifférence
Il sera trop tard pour pleurer l'absence
Du peuple des forêts et des savanes
Homme si puissant, la nature se fane
Je n'ai pas tes mots, regarde mes yeux
Ils disent notre chagrin et un faible espoir
Je voudrais que tu comprennes ce soir
Qu'Ils pourraient se refermer sous peu.
Bonne journée à vous,
Philippe Couteau dit "Bilout"